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Comment faire un CV moderne en 2021 ?

Si pour certains avoir de l’ambition et viser haut n’est pas un problème, avant d’être directeur, ou manager, il faut d’abord passer par la case embauche ! Et avant d’être embaucher, il est impératif de travailler sur son CV. Voici donc les trois conseils essentiels à appliquer afin de valoriser au mieux son CV auprès des recruteurs. 

#1 Faire un CV lisible. En cinq secondes, le recruteur doit être capable de déterminer qui vous êtes, votre parcours, et votre objectif. Il e faut pas oublier que le recruteur recevra probablement des dizaines voir des centaines de CV pour le poste auquel vous candidatez. Il est donc exclu pour lui de prendre trop de temps pour déchiffrer et tenter de comprendre vos motivations en lisant entre les lignes. Un CV se doit d’être agréable à lire, mais aussi à regarder. Attention aux couleurs trop criardes et aux polices trop petites. Une nouvelle fois, il faut se mettre à la place du recruteur, qui ne prendra surement pas d’avantage de temps pour essaye de décrypter votre CV. Attention aussi à adapter le style de votre CV en adéquation avec la culture de l’entreprise pour laquelle vous postulez. Inutile de faire un CV trop artistique pour une entreprise des plus traditionnelles. Aussi, mettre un titre à son CV peut être une bonne idée. Cela peut permettre à votre lecteur de comprendre immédiatement votre ambition. Il est également important de prêter attention à la répartition des catégories. Par exemple, votre catégorie « hobbies et loisirs » ne doit pas être plus importante que votre catégorie « formation » ou « expériences professionnelles ». Le recruteur pourrait alors avoir l’impression que les loisirs sont plus importants pour vous que vos expériences professionnelles. Cela ne valorise pas votre image. Pour savoir si son CV est lisible, il est possible de réaliser une petite expérience rapide, consistant à le remettre à une personne qui ne vous connait pas durant 5 secondes, puis de lui demander ce qu’elle en a retenu. On voit alors immédiatement les informations qui ressortent de votre CV, importantes, ou moins importantes. Si la personne a retenu des informations moins importantes, cela signifie que le CV est à retravailler, car l’essentiel ne s’en dégage pas.

#2 Associer ses expériences à des compétences. Cela peut permettre au recruteur de comprendre de façon claire qu’elle expérience a apporté quelle compétence au candidat. Par exemple, quelles compétences ont été acquises durant un stage en entreprise ? Cela peut être l’animation de réunion d’équipe, une augmentation de chiffre d’affaire.. Il est important ici de montrer au recruteur les capacités tirées de chaque expérience.

#3 Faire un CV adapté à chaque poste. Un CV ne sert pas forcément à tous les postes auxquels nous souhaitons postuler. Il est important de faire un CV mettant en avant les expériences significatives en lien direct avec le poste convoité. Il n’est pas obligatoire de retirer celles qui semblent être les moins pertinentes, mais il faut en tout cas les mettre en lien avec le poste auquel vous postulez.

Se démarquer avec une lettre de motivation.

Comment se démarquer avec une lettre de motivation ?

Pour trouver un emploi, un stage ou encore une alternance, l’étape de la lettre de motivation est souvent inévitable. Vous vous demandez alors probablement ce que vous allez bien pouvoir mettre dans cette lettre de motivation, en dire suffisamment, sans en dire trop, il est important de trouver le juste milieu tout en s’assurant de convaincre le recruteur auquel on s’adresse. Voici alors quelques conseils pour réussir une lettre de motivation ! 

#1 Toujours faire une lettre de motivation ! Cette lettre est indispensable lorsque vous candidatez. Sur les job-boards, typiquement, il vous sera toujours demandé un CV et une lettre de motivation. S’il ne s’agit pas à proprement parlé d’une lettre de motivation, cette dernière n’étant en effet pas toujours requise, prenez tout de même le temps de rédiger un mail accompagnant votre candidature. Il s’agira, au travers de ce mail ou de cette lettre de motivation, il s’agira de montrer combien vous êtes motivés par ce poste et par la même occasion d’expliquer d’avantage votre projet professionnel, notamment lorsqu’il s’agit d’une candidature spontanée. 

#2 Respecter la forme. Il y a certains codes à respecter pour écrire une bonne lettre de motivation. Vous devrez d’abord faire apparaître en haut, à droite, le nom du recruteur, ou bien sa fonction si vous n’êtes pas en possession de son nom. Pensez par exemple à la formulation suivante : « À l’intention de… ». En dessous, faites apparaître le nom de l’entreprise ainsi que son adresse postale. Plus bas, à gauche, notez le lieu et la date à laquelle vous écrivez cette lettre. Beaucoup l’oublient, mais il est important de noter un objet à cette lettre de motivation, sous cette forme par exemple : «  Objet : Candidature pour le poste de… ». Cela permettra à votre lecteur de connaître immédiatement le poste auquel vous postulez. Pour simplifier d’avantage les choses, vous pourrez même aller jusqu’à noter la référence de l’offre, si cette dernière figure dans l’annonce. Débutez ensuite votre lettre par un simple « Madame, Monsieur », que vous terminez pas une formule de politesse de type : « Veuillez croire, Madame, Monsieur, en l’expression de mes sentiments les plus distingués , et par une signature évidemment. 

#3 Organiser sa lettre en 3 paragraphes. Cela permettra à votre lecteur de suivre facilement votre raisonnement. Les trois parties « problème », « idée », « solution », pourront vous permettre de vous distinguer des autres candidats, et du basic énoncé de votre parcours professionnel, figurant déjà sur votre CV !

#4 Mettre en avant les enjeux du poste. C’est sur cette introduction que vous devrez passer le plus de temps. Vous pourrez alors mette en évidence les problématiques de la société. Pour se faire, prenez le temps de bien relire l’annonce, de consulter le site internet de l’entreprise, d’y découvrir les services qu’ils proposent, les projets à venir et autres valeurs de l’entreprise. Vérifiez aussi si l’entreprise est présente sur les réseaux sociaux. À l’aide de cela, vous pourrez alors réaliser une introduction intéressante, en utilisant le même champ lexical que l’entreprise. 

#5 Proposer une solution. Une fois le problème mis en évidence, il est maintenant temps d’y apporter une solution. C’est dans le deuxième paragraphe que vous montrerez au recruteur que vous êtes la solution ! C’est à ce moment là qu’il vous faudra vous vendre et montrer que vous avez toutes les compétences nécessaires pour être en mesure d’aider l’entreprise et d’assurer ce poste. Une nouvelle fois, n’hésitez pas à consulter l’annonce pour être en mesure de montrer que vous remplissez bien les prérequis demandés pour ce poste. 

#6 Faîtes réagir le recruteur. Dans le dernier paragraphe, montrez à quel point vous êtes motivés, et invitez le recruteur à agir ! Invitez le par exemple à prendre contact avec vous, ou même à le rencontrer. 

Lire aussi ces astuces pour rédiger votre CV

Ce qu’il faut faire/ne pas faire pour rédiger son CV.

Le CV est le premier point de contact avec les potentiels recruteurs. Il est donc primordial que celui-ci soit irréprochable et suscite chez votre potentiel employeur l’envie d’en savoir un peu plus. Lorsque l’on débute sa recherche d’emploi, il est absolument indispensable de mettre à jour son CV, dans le cas où celui-ci est déjà existant évidemment. Si, en revanche, vous débutez et arrivez seulement sur le marché du travail, il vous faudra rédiger un tout premier CV. Dans les deux cas, voici les choses à éviter à tout prix, et les petites astuces pour obtenir un CV des plus professionnels ! Ne pas hésiter à faire quelques rapides recherches vous permettant de réunir plusieurs petits tips et autres modèles de CV

Les 5 erreurs à éviter ! 

1- Une mauvaise mise en page. La mise en page d’un CV se doit d’être aérée et structurée. La police choisie a également son importance. Il faut éviter d’utiliser des polices trop atypiques, même si vous pensez parfois que cela vous permettra de vous démarquer des autres candidats. Vous vous démarquerez probablement, oui, mais dans le mauvais sens du terme… Privilégiez donc une police « classique » et simple, ainsi qu’une taille d’écriture raisonnable. Pensez aussi, même si cela peut sembler couler de source, à écrire votre CV en noir. Oubliez les couleurs trop criardes et voyantes, elles pourraient vous pénaliser ! 

2- Un mauvais choix de photoDois-je mettre une photo ? Est-il préférable que je n’en mette pas ? Deux camps s’opposent sur ce terrain. Si vous n’arrivez pas à vous positionnez, questionnez vous sur le poste auquel vous postulez, et voyez si il est important pour celui-ci que votre recruteur ai déjà vu votre petit minois. Si vous choisissez d’optez pour l’option « avec photo », cette dernière se doit d’être très professionnelle ! Une simple photo bien cadrée, dans une tenue correcte et sur fond blanc par exemple fera l’affaire.

3- L’absence de titre. Un recruteur a toujours besoin de lire un titre sur un CV. Il n’est pas là uniquement pour faire joli et donner un aspect structuré au CV, mais il vient donner un sens à la candidature. C’est un indice non négligeable pour le recruteur qui va directement pouvoir faire une lecture claire de votre projet, avant même de connaître votre projet. 

4- Ne pas respecter la forme antichronologique (de la plus récente à la plus ancienne) des expériences. Si cette mise en forme n’est pas respectée, le recruteur va alors devoir faire un travail pour comprendre l’ordre des expériences professionnelles du candidat. La forme antichronologique est la forme la plus répandue pour présenter son CV. Elle aidera le recruteur à avoir une vision limpide des expériences du candidat très efficacement. 

5- Ne pas détailler suffisamment ses missions. Il est indispensable d’indiquer à votre potentiel employeur les postes que vous avez occupé. Mais reste primordial de décrire ces postes et les missions et rôles que vous y avez occupé. Cela mettra en plus vos champs de compétences à l’honneur. Pour se faire, utilisez des mots-clés. N’hésitez pas à les mettre en gras ! Le recruteur fait souvent une lecture en diagonale des CV, ne dépassant pas les trente secondes. De cette façon, il aura accès rapidement aux informations susceptibles de l’intéresser. De plus, si votre CV est publié sur des sites emplois, sachez que les recruteurs font régulièrement des recherches via des CV-tèques, qui utilisent les mots-clés ! 

10 conseils à appliquer pour bien faire !

https://www.youtube.com/watch?v=HIKOmU455vE

1- Indiquez vos coordonnées. Essentiel si vous souhaitez qu’un recruteur intéressé revienne vers vous pour convenir d’un éventuel entretien. 

2- Indiquez le poste que vous recherchez, celui dans lequel vous vous projetez. Cela a pour but de montrer que vous avez un but précis et une ambition. 

3- Valorisez les expériences significatives pour le poste visé. 

4- Si vous postulez à un CDI, débutez votre CV par vos expériences professionnelles. S’il s’agit d’une candidature pour un contrat d’apprentissage ou bien un stage, commencez dans ce cas par votre formation. 

5- L’honnêteté avant tout ! Inutile de vous sur-vendre. Les recruteurs ne sont pas dupes et le remarquent très rapidement. Restez honnêtes et fidèles à qui vous êtes. 

6- Utilisez des intitulés précis pour décrire vos missions. Privilégiez des verbes d’action. 

7- Précisez les différentes langes que vous parlez, et votre niveau pour chacune d’entre elles. 

8- Renseignez vos compétences diverses, en informatique par exemple. (Pack Office, Outlook, Word..)

9- Forme sobre de CV, qui tient sur une page de format A4 avec une mise en page uniforme. 

10- Faîtes relire votre CV ! Plusieurs avis valent mieux qu’un, et cela vous évitera les petites coquilles. 

Point bonus : Pensez à convertir votre CV sous format PDF. Il pourra ainsi être lu par tous les ordinateurs. 

Success story de Marc-Arthur Kohn !

Marc-Arthur Kohn, condamné à réussir !

Marc-Arthur Kohn naquit le 24 mai 1946 à Paris, d’un père anversois et issu d’une grande famille de banquiers, et d’une mère née à Turin en Italie. Cette dernière s’étant spécialisée dans le domaine de l’art, l’initie dès sa plus tendre enfance à cet univers, où il s’est au fil des ans forgé une réputation, au point d’en devenir l’une des figures emblématiques.

Des premiers pas à l’école du Louvre

Marc-Arthur Kohn a fait ses études secondaires au lycée Jean-Baptiste Say dans le XVIème à Paris. C’est après cela qu’il rejoint la prestigieuse école du Louvre, reconnue depuis 1882 pour la qualité de sa formation, notamment dans les domaines de la conservation de musée, de l’histoire de l’art et des professions du patrimoine. A ses débuts, le jeune et prometteur Marc-Arthur commença ses études par la muséologie ; c’était entre 1964 et 1967. Sous la supervision de Michel Laclotte et de Maurice Serullaz, respectivement ancien directeur du musée de Louvre, et ancien inspecteur général des musées, et tous deux spécialistes de la peinture italienne et des œuvres de Delacroix, il commence la rédaction d’un mémoire entre 1968 et 1973.

Conscientes de son talent, les deux figures de la muséologie qui le voyaient devenir conservateur en art moderne n’ont pas manqué de lui apporter leur soutien, notamment pendant le temps de son travail sur les peintres lyonnais du XIXème siècle. Nonobstant cela, le jour de sa soutenance, il fit une déclaration déconcertante, affirmant que la rédaction de cette thèse s’inspire d’idées fausses. De fait, c’est à quelque temps de finir sa thèse, qu’il se rend compte que les descriptions de dessins dont il s’est inspiré sont erronées. Ces dernières ne mentionnent pas en effet le type de mine utilisé et ont un caractère quelque eu superflu.

Ses déclarations ont inspiré la réécriture de tous les catalogues, ce qui depuis lors est devenu un moyen fiable pour prévenir la diffusion des copies et l’imitation des œuvres d’art. Il devint alors major de sa promotion et obtint la mention très bien.

Un petit tour dans l’armée

Le service militaire étant obligatoire à l’époque (jusqu’à sa suppression en 1996), Marc-Arthur Kohn dût mettre une pause à ses études pour une courte expérience dans l’armée. De fait, à la suite d’un différend entre André Malraux et Edgar Faure, ce dernier décida de supprimer le sursis des étudiants en histoire de l’art – dispute que Marc-Arthur Kohn n’a pas manqué d’entendre étant le voisin du ministre de la Culture de De Gaulle…

En fin 1967, une préparation militaire supérieure, dont il gagnait deux fois le record de France du parcours du combattant, s’imposa à lui. Impressionné par ses performances, le Général Commandant du Port de Vincennes lui proposa d’encadrer des cours relatifs à l’armement lors de la période du Magdalénien.

André Malraux

Ce même Général l’incite à travailler dans le domaine de la coopération. Mais au regard du délai des 4 ans qu’il lui aurait fallu pour préparer son dossier, Marc-Arthur y renonce. C’est alors que le Louvre et le Ministère des Affaires Etrangères lui proposaient de diriger la Chaire d’Histoire de l’art de l’Université de Beyrouth, une expérience à laquelle il renonce également à cause de la guerre des six jours. Etant impossible pour lui de retourner dans l’armée, et sans poste, il apporte son expérience aux services des Affaires étrangères. Sur initiative de l’empereur Haïlé Sélassié 1er, qui avait pour projet de faire de la capitale de l’Ethiopie la Genève de l’Afrique, Marc-Arthur s’envola pour l’Ethiopie pour y enseigner le français. Pris de paludisme, il sera rapatrié mi-juin 1968 au Val-de-Grâce en France, pour se faire soigner. A la faveur d’une dérogation du Louvre, il réussit ses examens malgré son état de santé.

Une vocation au métier de commissaire-priseur tardivement découverte

Pendant qu’il travaillait sur sa thèse, il reçut une proposition de collaboration d’une commissaire-priseur. Au départ sceptique, il donna finalement suite à cette proposition. Contre toute attente, il se découvre une nouvelle passion vis-à-vis de ce métier et y entame une longue carrière à Lyon. D’abord clerc, il sera par la suite instruit par la chancellerie d’administrer temporairement une étude de Bourg-en-Bresse, tombée aux oubliettes après que ses propriétaires aient été reconnus coupables de nombreux faits illégaux. Nommé administrateur provisoire de l’étude du commissaire-priseur de l’Ain, il remportera deux en plus tard en 1974 le concours national qui fit de lui le titulaire d’un titre définitif d’administrateur.

Une compétence incontestée sur le marché de l’art


Entre-temps revenu à Paris, et après avoir vendu son étude de Bourg-en Bresse pour en acquérir une autre aussi moribonde à Paris, Marc-Arthur Kohn est devenu commissaire-priseur et opérateur de ventes volontaires de meubles aux enchères publiques à Paris, où il poursuit depuis son activité. A cette époque, il venait de faire 42 ans de carrière en tant que commissaire-priseur. La biennale de Venise, les salons de Maastricht et de Bâle et la participation à de nombreux évènements de prestige sont à inscrire à son parcours. Divonne-les-Bains, en Suisse, fait partie des nombreux endroits où il a vendu des tableaux.


La ronde des fillettes de Pablo Picasso, de multiples vues de Collioure, des peintures de Maurice Utrillo et des mobiliers de grandes valeurs signés Bernard Van Riesen Burgh font partie des œuvres les plus prestigieuses dont la vente a été assurée par les soins et l’expérience de Kohn. Ces succès de vente lui ont valu une collaboration avec les musées de Cluny et de Versailles. Il intégra par la suite un comité d’expertise des œuvres d’Utrillo non-référencées, lequel comité était composé de cinq membres. L’aura de ce comité a permis à Marc-Arthur Kohn de travailler avec des amateurs d’art de partout dans le monde. Passionné d’art, il avait cependant un fort penchant pour le style Boulle, la tendance impressionniste, ainsi que les œuvres du Caravage et de Picasso. Malgré sa grande carrière, il nourrit le regret de n’avoir pas intégré l’Ecole des Chartes.

Evolution du métier de commissaire-priseur, œuvres bibliographiques, et figures inspirantes

Le métier de commissaire-priseur a considérablement évolué au fils des ans et Kohn a dû se tourner vers l’art contemporain des années 1950-2000. Pendant ce temps, la France a perdu sa réputation en matière d’art au profit de l’Angleterre et des USA, et le métier de commissaire-priseur a connu de profondes mutations.

A l’actif de Marc-Arthur Kohn, on peut évoquer la rédaction d’une centaine de catalogues, classés parmi les plus beaux d’Europe. L’histoire naturelle, l’art amérindien, l’archéologie méditerranéenne, la maison Borghèse, les arts islamiques et les sculptures médiévales sont les principaux sujets abordés dans lesdits catalogues. Il publie aussi des catalogues sur les maisons et est co-auteur du « Catalogue raisonné de Maurice Utrillo ».

Tout au long de sa carrière, Marc-Arthur Kohn s’est inspiré d’Etienne Ader, qui a une réputation légendaire dans le milieu de l’art français et européen, de Boris Reims et de François Curiel.








Découvrez Pascal Robaglia, expert en patrimoine artistique

Pascal Robaglia le galeriste

Pascal Robaglia est né à Paris le 27 février 1955. Il s’est fait remarquer dès l’école primaire en entamant une étonnante scolarité. Apprentissage couronné en 1979 par l’obtention d’un diplôme en Etudes Supérieures Commerciales, Administratives et Financières (D.E.S.C.A.F.) à l’Ecole Supérieure de Commerce de Dijon, considérée comme l’une des plus importantes Ecoles de commerce française.

Alors qu’il est encore sur les bancs de Sup de Co, et grâce à son esprit créatif, Pascal Robaglia réussit à mettre en place la Junior-Entreprise de son école qu’il dirige avec succès de 1976 à 1979. Avant de devenir un grand spécialiste de la parfumerie, Pascal Robaglia a effectué un bon nombre de stages et assuré des missions commerciales en Arabie Saoudite, aux Etats-Unis et à Hong-Kong avec Hermès. Sa carrière débute avec la fonction de cadre à l’exportation qu’il assure en Égypte et Israël, chez Roger et Gallet avant d’intégrer la société Van Cleef and Arpels. Puis, chez l’Oréal et Biotherm Pascal Robaglia se voit confié la mission d’être animateur d’une équipe de vente de produits solaires.

Une passion ancienne

Pascal Robaglia s’intéresse à la peinture depuis sa plus tendre enfance. Il assiste en  famille à de nombreuses expositions de peintures. Des expositions organisées à l’époque à l’occasion de rétrospectives consacrées aux grands peintres de tous genres et écoles d’art. Ainsi, il a commencé à se passionner non seulement aux peintures et objets d’art mais aussi à la sculpture. Pascal Robaglia a partagé son amour de l’art avec sa femme. En effet, ils ont tous les deux ouverts en 1991 une première galerie originale dont Pascal Robaglia a assuré la direction pendant 22 ans – jusqu’en 2013. Cette galerie d’art a connu un immense succès dès le début, étant donné que Robaglia et son épouse sont arrivés à vendre leur première toile au… premier visiteur. Pendant une période de quatorze années, ils ont ainsi réalisé un chiffre d’affaires proche de trois millions d’euros.  Ils ont également participé à de nombreux salons de vendeurs et de galeries d’art français et internationaux.

Malheureusement, les années de réussite en France et à l’étranger (l’exportation des produits vers le Canada, les USA, la Chine et Dubai) ne sont jamais éternelles ! La prospère petite entreprise subit les effets négatifs d’une conjoncture économiquement difficile, de la concurrence des salles de ventes en pleine évolution et d’un divorce… La galerie de Pascal Robaglia a quitté la région de Vésinet à l’ouest de Paris. Fini le temps de cette luxueuse et grande maison qui faisait office d’e galerie d’art abritant plusieurs œuvres contemporaines.

La galerie Gilbert Bart

Aujourd’hui, Pascal Robaglia se déclare capable de continuer sa carrière de marchand d’art qu’il s’est tracée dès le début de sa carrière de galeriste, en promettant de la maîtriser sans difficulté. En réalité, notre galeriste Pascal Robaglia jouit d’un caractère de vendeur, exceptionnellement bien expérimenté, doté certainement de grandes capacités d’adaptation avec toutes les situations et de disponibilités. Par ailleurs son activité professionnelle ne l’empêche pas d’être un accro du sport.  Pascal Robaglia a une admiration pour le sport de montagne, l’alpinisme, le ski et surtout la plongée marine.

Dimitri Casali, son histoire…d’historien !

Dimitri Casali : L’Histoire d’un historien

Biographie de l’historien Dimitri Casali

Présentation :

Dimitri Casali est un historien médiatique passionné de Napoléon caractérisé par ses talents musicaux principalement dans le rock-n‘roll et sa vision sans complexe de l’Histoire de France.
Sa biographie en 6 dates :

Né le 23 février 1960 à Constantine, il grandit et étudie à Toulouse au collège Émile Zola puis au lycée Berthelot où il obtient le bac en 1980. Il devient ensuite chanteur et guitariste d’un groupe de rock du nom d’Apple Pie en référence aux Beatles puis étudie une maîtrise d’histoire à l’université Paris-Sorbonne. Il commence une carrière de professeur d’histoire-géographie en zone d’éducation prioritaire.

En 1998, il décide de mettre à profit son talent musical dans un projet pédagogique baptisé « Historock » caractérisé par ses compositions « pop-rock-rap » qui dépeignent « les grandes figures du passé ». Passionné par Napoléon, Casali compose également un spectacle musical intitulé Napoléon l’opéra rock. Mis en lumière par ses oeuvres musicales, il se lance par la suite dans la rédaction d’ouvrages éducatifs destinés dans un premier temps à un jeune lectorat qui connaissent d’importants succès en librairie.

En 2001, Dimitri Casali sort son premier livre, Rome, bientôt suivit par pas moins d’une quarantaine. Ecrivain prolifique, il multiplie les publications, d’abord pour les classes de l’école élémentaire comme Les Univers (2006), qui place l’analyse des documents et des images au centre des apprentissages, et qui est plébiscitée par les instituteurs. Il publie également des livres destinés à un lectorat adulte, dont Napoléon par les peintres, un ouvrage qui s’écoule à plus de 40 000 exemplaires.

A partir de 2010, il prend position contre les nouveaux programmes d’Histoire – Géographie au collège, auxquels il reproche de « zapper » toute une partie de l’histoire de France au profit de l’étude de civilisations étrangères, avec pour conséquence que « Clovis, Saint Louis ou François 1er passent à la trappe » du programme de la 5e. En 2011, il publie l’Altermanuel d’histoire de France, (éditions Perrin) qui critique la faible place accordée à certaines grandes figures de l’histoire de France, comme Clovis, Charles Martel ou Louis XIV.

En 2013, Dimitri Casali publie aux éditions Armand Colin une réédition enrichie du Petit Lavisse, manuel de vulgarisation historique destiné aux écoliers français. Cette nouvelle version prolonge le texte de l’historien Ernest Lavisse en y ajoutant des chapitres qu’il a écrits sur la période postérieure à 1940.

En 2016, avec le concours de la Fondation Aristote, il publie aux Éditions La Martinière le Nouveau Manuel d’Histoire, Cycle 4. Le livre a été réalisé avec le concours d’une équipe de dix professeurs certifiés et agrégés d’Histoire et préfacé par l’homme politique Jean-Pierre Chevènement. Plus récemment sort son dernier livre en date La Longue Montée de l’ignorance paru en 2017

 

Livres :
2001 : Rome, Mango, septembre 2001 (ISBN 2740411812)
Charlemagne et son temps, Mango, octobre 2001, (ISBN 2740412827)
Le Moyen ge, Mango, septembre 2001, (ISBN 2740411820)

2002 : La Vie des Français au temps du roi Soleil, Larousse, septembre 2002 (ISBN 2035053455)

2003 : La Préhistoire, Larousse, mai 2003, (ISBN 2035650844)
L’Égypte ancienne, Larousse, septembre 2003, (ISBN 2035530598)

2004 : Napoléon Bonaparte, Larousse, (ISBN 2035054060)
Staline et son temps, Editions Mango, novembre 2004, (ISBN 2740418558)
L’Égypte, Larousse, octobre 2004, (ISBN 2035650968)

2005 : 100 dates de l’Histoire de France, Flammarion, octobre 2005, (ISBN 2081630907)

2006 : Manuel scolaire cycle 3, 6 tomes, Les Univers, Éditions SED
Le Moyen ge (il. Monike Czarnecki), Larousse, octobre 2006, (ISBN 2035651824), tranche d’âges : 6 années et plus
L’Encyclopédie Dokéo 6-9 ans, Nathan

2007 : Ces immigrés qui ont fait la France, Aubanel, octobre 2007, 223 p. (ISBN 270060511X)
Petites histoires de l’Histoire de France, Flammarion, avril 2007, (ISBN 2081200643),
Histoires secrètes de l’Histoire, Flammarion,, mars 2007, (ISBN 2081634813)
Les 100 dates de l’Histoire de Monde, Flammarion, octobre 2007, (ISBN 208120052X)

2008 : Napoléon Bonaparte, Larousse, avril 2008, (ISBN 2035841704)
365 dates de l’Histoire de France, Aubanel, septembre 2008, (ISBN 2700605667)
Sexe et Pouvoir : Les dessous de la vie des chefs, La Martinière, septembre 2008, (ISBN 2732437905)

2009 : L’Histoire de France par la peinture, Fleurus, janvier 2009, (ISBN 2215054565)
Le Moyen ge, Gallimard Jeunesse, octobre 2009, (ISBN 2070612112)
Les 1001 faits insolites de l’Histoire, François Bourin Editeur, octobre 2009, (ISBN 2849411396)
avec David Chanteranne, Napoléon par les peintres, Seuil, octobre 2009, (ISBN 2020987791)

2010 : L’Antiquité éternelle par les peintres, Seuil, (ISBN 2020993864)

2011 : L’Altermanuel d’Histoire de France. Ce que nos enfants n’apprennent plus au collège, Perrin, août 2011, (ISBN 2262034052) Prix du Guesclin 2011.
Napoléon : Dans l’intimité d’un règne, Larousse, octobre 2011, (ISBN 2035864100)
Les Éminences grises du pouvoir, Express Roularta, octobre 2011 (ISBN 2843438438)
L’Histoire de France : Racontée par le cinéma, François Bourin Editeur, octobre 2011, (ISBN 284941266X)

2012 : L’Histoire de France interdite. Pourquoi ne sommes-nous plus fiers de notre histoire, Éditions Jean-Claude Lattès, septembre 2012, (ISBN 2709636972)
L’Histoire de France vue par les peintres, Flammarion, septembre 2012 (réimpr. 2017), (ISBN 2081279819)

2013 : Dimitri Casali, Histoire de France, de la Gaule à nos jours, Armand Colin, septembre 2013, (ISBN 2200277709)
Napoléon le grand album de notre enfance, un destin pour la France, Gründ, octobre 2013, (ISBN 2324005840)

2014 : L’Histoire de France de l’ombre à la lumière, L’Histoire que les Français n’apprennent plus, Flammarion, septembre 2014, (ISBN 2081308053)

2015 : L’Empire colonial français : Quand la France rayonnait dans le monde 1608-1931, Gründ, 2015, (ISBN 2324009366)
Qui a gagné Waterloo ? Napoléon, Flammarion, mai 2015, (ISBN 208135439X)

2016 : Notre Histoire, ce que nos enfants devraient apprendre à l’école , La Martinière, 2016, (ISBN 2732480282)
Nouveau Manuel d’Histoire, La Martinière, 2016, (ISBN 2732480274)
Victoires et défaites de l’Histoire de France, Grund, 2016, (ISBN 2324012103)
Désintégration française, pourquoi notre pays renie son Histoire et nos enfants perdent leurs repères, Éditions Jean-Claude Lattès, 2016, (ISBN 9782709648592)

2017 : L’histoire se répète toujours deux fois, Éditions Larousse, 2017, (ISBN 2035939933)
La Longue Montée de l’ignorance, First, 2017 (ISBN 978-2412015513)

 

En résumé, de professeur d’Histoire dans une ZEP à Historien confirmé, Dimitri Casali a connu un parcours riche en création artistique, musicale et littéraire, en découvertes historiques, en pédagogie et en convictions. Il a rapidement connu les lumières de la célébrité et de la médiatisation grâce à ses ventes de livres et a fait de nombreuses apparitions sur les plateaux télé et radio. Il est aujourd’hui une figure incontournable d’historien confirmé et à la plume toujours active.








Comment reconnaître un fake CV ?

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On parle beaucoup (trop) de fake news… Quid des “Fake CV” ? Alors que nous avions pu mesurer l’étendu du nombre de personnes qui mentent sur un CV, il est temps d’aider les employeurs à distinguer le vrai du faux. Diplômes falsifiés, missions rajoutées ou encore expérience fictive… Comment reconnaître un fake CV ?

65 % des CV sont bidonnés

D’après une nouvelle étude menée par le cabinet Florian Mantione Institut, 65% des candidats mentiraient sur leur CV. Un chiffre élevé mais qui est à la baisse par rapport à la précédente étude où 75% des CV pouvaient être considérés comme une “alternative à la réalité”. D’après le fondateur de ce cabinet, Florian Mantione, cette baisse est due aux réseaux sociaux. En effet, de plus en plus d’employeurs ont le (bon) réflexe d’aller faire un tour sur le Facebook ou les réseaux sociaux des candidats. Ces derniers sont, depuis lors, plus prudents et plus honnêtes.

Pourtant, si ce chiffre reste élevé, c’est pour plusieurs raisons. La concurrence et la conjoncture économique poussent toujours de nombreuses personnes à tricher pour plaire. Elles estiment sans doute ne pas avoir d’autres choix que de mentir pour obtenir un entretien. Et dans le fond… Ont-elles tort d’essayer ? Rappelons qu’une personne qui aurait menti sur son CV ne peut pas être renvoyée pour cela. Seules quelques professions spécifiques sont concernées par cette menace.

Comment reconnaître un fake CV ? Voici quelques conseils.

Si vous êtes une PME, ne soyez pas trop excessifs dans l’exigence de certains paramètres. La confiance est primordiale. Une personne à l’aise est toujours plus sincère, sinon, vous pouvez faire fuir d’éventuels candidats tout à fait honnêtes. Il faut savoir trouver le bon dosage.

  • Faites des recherches et analyses au préalable

    Le CV est essentiellement un document de “marketing” dans lequel le candidat se présente sous son meilleur jour. Ce n’est pas très étonnant qu’il y ait des embellissements. Pour faire un premier tri, recherchez les comptes LinkedIn et Facebook du candidat pour vérifier la concordance.

    fake cvLa vérification des antécédents doit tester la crédibilité du candidat : les emplois antérieurs, y compris les entreprises, les dates et les postes, les antécédents criminels, la scolarité, les titres de compétences, les permis et les certifications et tout autre élément lié à l’emploi… Le gouvernement est censé développer un site pour l’attestation numérique des diplômes. Un projet qui commence à dater. Et qui n’a toujours pas vu le jour. Dommage car une telle plateforme pourrait faire gagner du temps dans la détection des faux diplômes… Patience.

    Le bon tricheur, cependant, ne se fera pas trahir par internet. Soyez donc particulièrement attentif à la cohérence du CV. Une école de commerce et des stages de qualité pour terminer dans une start-up inconnue qui ne laissent pas de traces ? Suspect. Notez tous les points qui vous posent problèmes pour revenir dessus lors de l’entretien. Demandez également aux candidats de ramener les diplômes, les certificats de travail et les trois derniers bulletins de salaire. Cela permet de montrer que vous êtes sérieux et les petits malins auront tendances à fuir avec leur fake CV.

  • Poser des questions

    Pour éclaircir les zones d’ombres potentielles, l’entretien s’impose. Associé à une bonne technique de questions, il permet d’identifier efficacement les menteurs. Puisque les candidats doivent donner des exemples précis de leur expérience passée, c’est assez difficile de mentir tout en restant crédible.

    La clé ici est d’être efficace et tranchant dans ses questions. N’ayez pas peur de demander plus de détails si les réponses d’un candidat sont vagues…. N’hésitez-pas à creuser avec des questions telles que : “Pouvez-vous m’en dire plus à ce sujet ? ; “Je ne suis pas sûr de comprendre, pouvez-vous développer?” ; et/ou “Pourriez-vous me donner votre avis sur ce point”.

    Les moins bons et/ou moins préparés se trahiront certainement, ou installeront tellement de doutes que vous pourrez vous forger votre propre opinion. Et naturellement, un appel téléphonique aux anciens employeurs ou écoles est toujours un moyen fiable de vérifier les dires et déterminer les fake CV.

  • Mettez-les à l’épreuve

    Si des candidats vous semblent (trop) bons, et que le doute est toujours présent… Une solution : la mise à l’épreuve. Si vous pensez qu’un candidat peut mentir au sujet de compétences particulières qu’il possède, et qu’il a n’a pas été assez clair sur des questions précises, n’hésitez-pas à lui faire passer des tests de compétence et d’habileté.

    fake CV

    Le fake CV devrait être détectable en suivant ces quelques conseils

  • Protéger l’entreprise contre les fake CV

    Malgré tous ces efforts, certains peuvent passer à travers les gouttes. Si le poste est particulièrement sensible, alors protégez-vous. Vous pouvez inclure une déclaration dans votre demande d’emploi à l’attention des candidats comme “Je comprends que toute déclaration fausse ou trompeuse ou toute omission trompeuse faite par moi au sujet de ma demande – y compris les renseignements fournis dans mon curriculum vitae ou lors d’entrevues – peut être un motif suffisant pour que je sois rejeté comme candidat à un emploi ou pour mon congédiement immédiat en cas d’emploi”. Cela vous permettra de prendre des mesures dans l’éventualité où vous engagez un candidat et qu’un mensonge se révèle par la suite. Il est en effet difficile de licencier pour faute grave un candidat récemment engagé, même si vous détecter un mensonge…

Retour sur la carrière d’Henri de Waubert de Genlis, cet expert pilote !








Henri de Waubert de Genlis, expert aéronautique militaire

Henri de Waubert

Henri de Waubert de Genlis, né le 28 avril 1946, est un ancien pilote de combat et pilote d’essai sur Mirage F1 et Mirage 2000. Pour l’ensemble de sa carrière, il a reçu plusieurs récompenses prestigieuses :

  • 1982 : Chevalier Ordre National du Mérite
  • 1983 : Médaille de l’Aéronautique
  • 1996 : Chevalier Ordre National Légion d’Honneur
  • 2011 : Médaille technique de bronze de l’éducation nationale

Aujourd’hui, Henri de Waubert est un expert en aéronautique militaire. Il bénéficie d’une large renommé pour tout ce qu’il a accompli et entrepris dans sa carrière.

Henri de Waubert

Henri de Waubert de Genlis a quitté l’armée avec le grade de lieutenant-colonel.

Une carrière de pilote

Cette dernière commence en 1964, lorsqu’il s’engage en tant que volontaire dans l’armée de l’air. En 1966, il entre finalement à l’Ecole de l’Air, Salon de Provence (13300), pour y devenir pilote. Entre 1969 et 1977, Henri de Waubert est pilote de combat. Il gravit les échelons jusqu’à atteindre le rang de commandant d’escadrille du groupe de chasse “Alsace”. Il a désormais sous son commandement jusqu’à huit avions.

Après plusieurs années en tant que pilote de combat, il réussit en 1977 le concours pour intégrer l’Ecole des Pilotes d’Essais, à Istres. Il poursuit dans cette voie jusqu’en 1984. Il devient alors un véritable expert des armes. Ses qualités lui permettent d’être nommé représentant de l’Irak auprès de l’industrie française, pour le programme “Mirage F1”, en 1980. Il est également en charge du programme “Mirage 2000 défense aérienne”.

Un virage commercial

Après sa carrière de pilote, Henri de Waubert décide de fonder plusieurs sociétés en Afrique du sud : Une première spécialisée dans l’ingénierie aéronautique : « Advanced Technologies and Engineering ». Une seconde qui est une société de représentation d’équipements high-tech et défense « AC&E Industries ». Une troisième basée sur le consulting : « Hermes Consulting ». Enfin, une dernière de charter avion « Air Motive Management ».

En 1993, il est nommé Conseiller du Commerce Extérieur de la France (CCEF). Il est ensuite intronisé Président de la section Sud-Africaine de 1993 à 2001, avant d’être nommé Conseiller Honoraire en janvier 2014. Pendant ces années sud-africaines, il devient aussi membre du groupement des industriels de la défense Sud Africaine (AMD) et à ce titre conseiller du gouvernement en matière de défense. De 1995 à 2000, il est nommé conseiller du ministère du transport d’Afrique du Sud, départements « Shipping Directorate » et « Road Department » pour réaliser la « Commercialisation » de ces entités.

Henri de Waubert rentre en France en 2005. Il fonde et gère une nouvelle entreprise “AEROTECH CONSULTING”, société de Conseil en Aéronautique et Défense société. Il devient membre du Bureau du Comité Nouvelle Aquitaine des CCEF, en tant que Chargé de la Formation.








Peut-on mentir sur son CV ?

“Devrais-je mentionner cette mission que je n’ai pas faite ? Indiquer que j’ai fait un contrat plus long que la réalité ?” etc.
Il y a tellement de concurrence, ce poste vous intéresse tant, qu’il est parfois tentant de se laisser aller à quelques altérations de la réalité. Mais jusqu’où peut-on mentir sur son CV ?

Dans l’émission, On n’est plus des pigeons (ONPDG) diffusé pendant quelques années sur France 4 , une journaliste a tenté l’expérience. Elle a volontairement trafiqué ses CV pour postuler à différents postes… Les résultats sont parfois effarants, puisqu’elle réussit par exemple à se faire embaucher dans une agence immobilière !

 

Mentir sur son CV est quelque chose de courant

Mais ne pas mentir

Enjoliver son CV peut être recommandé

Comme rappelé dans cette émission, il est assez courant que les candidats mentent sur leur CV. Il est même plutôt conseillé “d’orienter” la vérité, pour que ce soit plus agréable pour le recruteur (à condition que rien ne soit inventé).  Selon une étude du cabinet Florian Mantione Institute, 75% des candidats mentent sur leur CV. Les mensonges concernent principalement les compétences, les responsabilités ou encore la durée effective des postes occupés…

Toutefois, certains candidats n’hésitent pas à aller plus loin. On estime que 33% d’entre-eux s’attribuent un faux diplôme. Une étape à ne pas franchir car cela peut être devenir assez grave. Une affaire avait fait particulièrement parler lors du remaniement du gouvernement opéré par François Hollande en décembre 2012. Bruno Le Roux, qui venait d’être nommé ministre de l’intérieur,  avait dû publier son CV publiquement -dans un soucis de transparence. Mais, après quelques jours, il s’est révélé être truqué ! Il avait effectivement mentionné être diplômé des grandes écoles de commerce comme l’ESSEC et HEC … mais il n’en est rien. Il a réussi à garder son poste en mentionnant une “erreur” et a immédiatement rectifié son CV.

 

De trop gros mensonges peuvent coûter cher

et ça peut coûter cher

Mentir peut vous mener en prison

Si l’ancien ministre s’est est “plutôt” bien tiré, d’autres n’ont pas eu cette chance. C’est le cas de l’ancien directeur de l’aéroport de Limoges, qui a été licencié en 2012 pour une affaire de faux diplômes, et qui a vu la justice le condamner à un an de prison ferme !
Mais le premier prix revient sans aucun doute à Annie Dookhan. Cette chimiste américaine a été embauché alors que ne possédait pas le diplôme requis pour son poste dans la police scientifique du Massachusetts. En plus de sa malhonnêteté, son manque de compétences et ses mauvaises intentions, elle pourrait coûter des dizaines de millions de dollars a l’Etat ! Elle  a reconnu avoir falsifié des dizaines de milliers de résultats pour des tests génétiques en matière de produits stupéfiants en faveur de la justice américaine. Un fait très grave qui l’a conduit a écopé d’une peine de 3 ans de prisons, plus 2 année de probation fin novembre 2013. Elle est récemment sortie de prison, mais son avenir professionnel est d’ores et déjà compromis.

 

 

 

C’est encore flou

La santé ou la sécurité sont des postes sensibles, donc plus sujet à condamnation du menteur

La justice d’adapte aux cas

Même si cette exemple est extrême et particulièrement rare. S’inventer un diplôme n’est pas toujours punissable par la loi, cela dépend de la profession. Une récente décision de la cour de cassation a statué que c’était à l’entreprise de vérifier les diplômes de ses futur collaborateurs.
Si l’employeur découvre que le salarié embauché ne possède pas le diplôme exigé pour le poste, il ne peut pas le licencier ni même demander la nullité du contrat de travail pour ce seul motif. “Et s’il le fait, le salarié pourra soutenir que le licenciement n’est pas justifié”, précise Roland Perez, juriste.

Le précédent gouvernement avait annoncé le lancement d’un système numérique d’authentification nationale des diplômes pour lutter contre la fraude de certains candidats, ce qui devait permettre les entreprise d’y voir plus clair et d’identifier les menteurs… mais cela est désormais en stand-by depuis le nouveau gouvernement.

Partir à l’aventure avec ce passionné de voyages, Thomas Jonglez

Thomas Jonglez, d’aventures en aventures

PORTRAIT – Ce passionné de voyages et d’expériences inédites fête, cette année, les 15 ans de sa maison d’édition qui publie des guides touristiques «insolites et secrets».

Par Alyette Debray-Mauduy

Qu’il soit assis dans un café d’Ipanema à Rio – là où il habite – ou à une table du très chic Hôtel Costes, à Paris, il a cette même dégaine de baroudeur. Chemise ouverte, chèche autour du cou, teint hâlé et petites lunettes rondes. Un look à la Indiana Jones… Sauf que cet éternel curieux n’est pas à la recherche de l’Arche perdue mais à l’affût de sites insolites et secrets pour les guides touristiques qu’il édite depuis maintenant quinze ans. Des lieux loin des sentiers battus, des adresses ultraconfidentielles, mais non moins sensationnelles. À Venise, New York, Buenos Aires ou encore Londres, Cape Town, Tokyo… Au total, quarante-cinq villes – cinquante à la fin de l’année – à découvrir autrement. Sa cible: «les habitants eux-mêmes, ceux qui connaissent déjà par cœur une destination, qui veulent entrer dans le détail ou ceux qui fuient les hordes de touristes», comme lui lorsqu’il voyage. Pourtant, jusqu’à sa majorité, Thomas Jonglez n’a guère été plus loin qu’en Bretagne. À propos de son enfance, il avoue «qu’il ne s’est pas passé grand-chose». Une famille bourgeoise de quatre enfants, un père cadre supérieur dans de grands groupes pétroliers, des études à Saint-Jean-de-Passy. «La vie s’écoulait… Point.» Il passe ses week-ends au bois de Boulogne «pour s’aérer», ses vacances à La Trinité ou à l’île de Ré. Au mieux, il visitera Jersey en famille. Mais il est l’original de la famille. Son bac en poche, il embarque ainsi pour l’Inde et le Népal avec trois copains. Un voyage comme un électrochoc. Une révélation.

«J’étais totalement accro aux voyages. J’aimais cette impression de me sentir paumé, que j’assimilais à un sentiment de liberté»

Thomas Jonglez

«J’apprenais la vie, je sortais du chloroforme dans lequel j’avais été plongé pendant dix-huit ans.» L’étudiant à l’Essec ne compte pas s’arrêter là. Il décroche un stage à Tokyo. Lui qui a l’art de raconter les histoires relate, amusé, comment il découvre les hôtels-capsule, les karaokés, les Jacuzzi géants «où se retrouvent plus de cent Japonais, entièrement nus, avec leur plateau-repas flottant». Ce garçon de bonne famille se demande un peu où il a atterri. Mais il en redemande… Ses études terminées, il part pour l’Amérique du Sud, sac au dos, officiellement «pour apprendre l’espagnol». Traverse le Paraguay, le Pérou, la Patagonie… Pour le coup, sa vie devient vraiment celle d’un aventurier. Il passe la frontière bolivienne en pleine savane, dort dans des hôtels peu recommandables, tenus par d’anciens nazis, navigue avec Alain Caradec – le frère de Loïc – au cap Horn. À peine son service militaire accompli, en France, le voilà reparti. «Je n’étais pas encore prêt pour travailler. Alors, j’ai pris un aller simple pour Pékin avec l’idée de revenir par la route.» Un road trip de sept mois. Et là encore, des péripéties dignes d’un Tintin Reporter, comme son entrée en fraude au Tibet, caché sous des couvertures – il était alors impossible de passer la frontière autrement que par les airs, l’accès par la route étant interdit aux étrangers. Ou encore son voyage en stop avec des militaires chinois qui l’hébergent dans leur caserne, sa halte au Pakistan dans un village tribal où marchands d’armes et de drogue ont pignon sur rue. «J’étais totalement accro aux voyages. J’aimais cette impression de me sentir paumé, que j’assimilais à un sentiment de liberté.»

Lassé par la routine

De retour à Paris, Thomas Jonglez continue à se faire plaisir et coécrit avec un ami son premier guide, Paris, 300 lieux pour les curieux. Cela ne nourrit pas son homme, il finit donc par travailler. Pour de bon. «J’ai attendu quatre ans et trois mois avant de bosser, mais ces années ont été bien plus formatrices que n’importe quel job.» Fort de cette expérience pour le moins atypique, il entre chez Usinor où il devient rapidement directeur export pour l’Amérique latine. Un rôle taillé sur mesure… Ou presque. Rapidement lassé par la routine, avec au moins une idée à la minute dans la tête, il monte une place de marché de l’acier sur Internet, soutenu par Francis Mer et avec Usinor comme actionnaire. Rien n’y fait, Thomas Jonglez a toujours ses guides touristiques dans le crâne. Alors, il cumule les deux jobs. Commercial le jour, éditeur la nuit. Il publie successivement un guide sur Bruxelles puis un autre sur Marseille. Ce dernier fait un carton et le jeune entrepreneur finit par choisir sa voie. Cette année, les Éditions Jonglez fêtent leurs 15 ans et leur million de guides vendus. La petite entreprise a trouvé son rythme de croisière: deux à trois ans de travail pour écrire un nouveau guide, des auteurs qui ne sont autres que les habitants des villes explorées, des publications en six langues, de beaux livres de photos pour compléter son catalogue et un petit bureau à Paris où Thomas Jonglez vient tous les deux mois environ. Pour sa part, il n’a jamais envisagé d’habiter la capitale. Il s’installe d’abord à Venise – «qui offre la qualité de vie des petites villes et la richesse culturelle des grandes» – avant de déménager à Rio de Janeiro où il réside aujourd’hui. «Accueillant la Coupe du monde de foot puis les Jeux olympiques, le Brésil était en plein boom et très central pour développer mon business en Amérique du Sud», explique-t-il.

L’éditeur a fait de cette soif d’aventure un mode de vie qu’il s’attache à transmettre à ses trois enfants. Après avoir quitté Venise, et avant son installation au Brésil, sa petite famille a voyagé, pendant six mois, de Moscou aux îles Salomon en passant par la Corée du Nord, la Nouvelle-Calédonie, l’île de Pâques… «Mon petit dernier a déjà découvert quarante pays, à 8 ans. L’aîné a 17 ans et rêve de devenir espion.» Lui a fait les comptes: il a visité 108 pays dans le monde, il lui en reste donc 225 à découvrir. Et peut-être autant de projets palpitants à lancer.

D’après le Figaro, 9/03/17