Benjamin Bitton

B.

Benjamin Bitton

Benjamin Bitton est né en 1977 à Floirac dans le département de la Gironde. Il a pratiqué le judo à un haut niveau national durant sa jeunesse, ce qui dénotait déjà à l’époque d’une véritable abnégation dans le travail et d’un goût prononcé pour les défis et challenges. Il a obtenu son Baccalauréat Série B en 1993 et a poursuivi ses études jusqu’en 1997 où il a finalisé un DESCF à l’université de Bordeaux 4 ainsi qu’un BTS de Gestion et Comptabilité.

Benjamin Bitton, fondateur de Sim+

Benjamin Bitton, fondateur de Sim+

Doté d’un véritable esprit d’entrepreneuriat, Benjamin Bitton a commencé sa carrière professionnelle en créant directement sa première entreprise à Bordeaux en 1999 : France Communication, dédiée à la commercialisation d’espaces publicitaires dans des revues spécialisées. En 2000, il a démarré sa première expérience en tant que commercial au sein de Golden Telecom tout d’abord, puis GSM Express. Au sein de Golden Telecom, il avait à sa charge l’animation des équipes commerciales composées de profils juniors comme expérimentés, ce qui lui a permis de développer des compétences managériales qui lui auront été précieuses par la suite. En tant que commercial, il a également fait du porte à porte en “B to B” (Business to Business) et “B to C” (Business to Customer). Une autre de ses responsabilités principales était également de réaliser de la distribution de contrats auprès des plus grands opérateurs du marché tels que SFR, Orange et Bouygues Telecom. Benjamin Bitton quitta Golden Telecom en 2001 pour rejoindre GSM Express toujours en tant que commercial mais avec cette fois la direction complète d’une agence. Cette entreprise est spécialisée dans la réparation, le déblocage et le désimlockage des Smartphones, en particulier des iPhones, des tablettes et des ordinateurs portables. L’expérience est une réussite et conforte Benjamin Bitton dans sa volonté et ses envies de management et de gestion de sa propre structure : Il se lance alors dans la création de sa seconde structure Caac.

Le principe de l’entreprise Caac est de distribuer des forfaits Bouygues Telecom en relançant pour cela la vente en porte-à-porte. L’audace est payante, les clients sont séduits et Benjamin Bitton a l’opportunité de mettre en application l’ensemble des connaissances en techniques de vente acquises durant sa scolarité et ses expériences précédentes. Caac est une véritable réussite avec un Chiffre d’Affaires annuels de 10 millions d’euros : Face à ce succès rapide et retentissant, Benjamin Bitton monte une véritable cellule de démarchage et vente à domicile mais également de vente à distance. Pour pouvoir couvrir l’ensemble du marché, il monte en parallèle en 2004 un call center dont l’effectif atteindra pas moins de 100 personnes.

Face au succès de Caac et à la confiance acquise auprès des acheteurs, Benjamin Bitton lance en 2009 Sim+, son entreprise la plus connue. Le principe est simple : Avec Sim+, Benjamin Bitton achète des minutes de communication au géant de la téléphonie SFR, puis les revends au détail à de très petits prix (telle que l’offre proposant des minutes à 0,17 centimes d’euros). En proposant des prix défiant toute concurrence, Benjamin Bitton génère le succès immédiat de sa nouvelle Start-up : Le public est séduit. Autre fait d’armes à noter, sa technique de vente séduira non moins que Xavier Niel, qui la reproduira quelques années plus tard avec ses forfaits Free. Benjamin Bitton revend les minutes de communication avec des forfaits prépayés et ajustés et des portables dits d’entrée de gamme, tels que ceux proposés par la marque Nokia : Son réseau MVNO ne cesse depuis 2009 de gagner de nouveaux clients.

Pour poursuivre son incroyable progression, Benjamin Bitton ne cesse d’innover et de se renouveler sans cesse. Afin d’être réactif et conserver sa compétitivité face aux géants du marché, il a notamment proposé ses minutes à prix mini pour le data et les appels à l’internationaux ou encore lancer des offres de paiement par tranche de 25 euros, ce qui limite considérablement le taux d’impayé.